Une structure repensée, des rôles clarifiés.
2025 marque un tournant pour la fonction d’audit interne. Les nouvelles normes internationales, entrées en vigueur cette année, ne se contentent pas de dépoussiérer un cadre existant : elles redéfinissent profondément les contours du métier. Fini les chapitres dispersés et les qualifications en silos. Place à une architecture plus lisible : cinq grands domaines, quinze principes, cinquante-deux normes. L’objectif ? Mieux distinguer les responsabilités entre le conseil d’administration, la direction de l’audit interne, et les auditeurs eux-mêmes. Cette clarification n’est pas cosmétique : elle sert une finalité plus ambitieuse, celle de faire de l’audit un véritable levier de performance organisationnelle.
De contrôleur à partenaire stratégique
L’auditeur n’est plus seulement garant des règles. Il devient un acteur du progrès, chargé d’anticiper les risques, d’éclairer les décisions, et de contribuer activement à la création de valeur. Cette mission élargie se traduit par un positionnement nouveau : moins centré sur la conformité, plus engagé sur la prospective, le conseil et l’amélioration continue.
Une fonction au cœur des interactions
Les nouvelles normes insistent sur l’importance du dialogue : avec les organes de gouvernance, bien sûr, mais aussi avec les opérationnels, les métiers, et les parties prenantes au sens large. L’audit interne évolue désormais dans un écosystème mouvant, où la compréhension des enjeux, des ambitions et des limites de l’organisation est primordiale. Ce lien permanent est le socle d’une confiance construite et durable.
Une exigence accrue en matière de performance
Appliquer les normes ne suffit plus : il faut démontrer la valeur ajoutée de la fonction. Cela suppose des indicateurs, des plans d’action, des retours réguliers sur l’impact réel des missions menées. La qualité de l’audit interne ne se juge plus à sa conformité seule, mais à sa capacité à transformer les organisations de l’intérieur.
Un prisme renforcé sur les risques et la technologie
Cybersécurité, interdépendance des risques, tolérance définie par les directions générales : les référentiels élargissent le spectre. L’audit doit désormais intégrer des dimensions complexes et transverses, tout en s’appuyant sur des outils technologiques adaptés. Les auditeurs sont ainsi invités à monter en compétences, à explorer de nouveaux périmètres et à intégrer les logiques de transformation digitale.
Dans un contexte où les profils qualifiés en audit se font rares, le choix d’un partenaire de confiance devient un levier décisif.
Nous accompagnons les directions financières et les départements RH dans l’identification de talents à fort potentiel, capables de conjuguer rigueur technique et compréhension fine des enjeux de transformation.
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